Quatre stratégies dans la bataille pour le personnel AQ

De plus en plus d’entreprises alimentaires éprouvent des difficultés à attirer ou, du moins, à conserver le personnel d’assurance qualité (AQ) adéquat. Alors que les postes sont vacants, non seulement l’accent mis sur la qualité et la sécurité alimentaire risque de s’estomper, mais le fossé que les candidats potentiels doivent combler au départ se creuse également. « Il est urgent d’investir dans le personnel AQ », fait écho KTBA. Quoique le directeur général Kobe van Looy et les directeurs régionaux Lien Thoen et Valerie Vanhove ne parlent pas nécessairement de compensation financière.

Une véritable guerre des talents fait rage. En effet, les candidats potentiels à un poste d’AQ ne sont pas nombreux, alors que le besoin de ces profils ne fait qu’augmenter sous l’influence de normes plus strictes. « Par conséquent, la pression sur les entreprises alimentaires et le personnel augmente », déclare Kobe van Looy. « Si les collaborateurs ne trouvent pas un soutien suffisant auprès de leur employeur dans ce domaine, ils iront rapidement le chercher sous d’autres cieux. En fin de compte, c’est ainsi que nous nous retrouvons dans un cercle vicieux. » Pour briser la spirale descendante de la pénurie de personnel, KTBA envisage plusieurs possibilités. Son propre engagement et celui de l’industrie sont déterminants.

Montrez la pratique quotidienne

Van Looy commence à la base. « Les étudiants ne sont pas suffisamment conscients de ce que fait exactement un responsable AQ. Plus encore, dans de nombreuses formations pertinentes, on n’en parle tout simplement pas assez. Les étudiants ne savent pas que cela fait partie des possibilités, et ceux qui le savent en ont souvent une vision déformée. Par exemple, ils pensent que c’est une profession purement théorique. » « Totalement injustifié », concède Lien Thoen, « car en tant que responsable de l’assurance qualité, vous avez les deux pieds ancrés dans la pratique. Vous endossez une grande responsabilité et la diversité est considérable. Quiconque effectue un stage dans un département de qualité le remarque immédiatement. C’est pourquoi nous exhortons les entreprises alimentaires à s’inscrire autant que possible à des programmes de stages.

Investir dans la formation

Cependant, une formation dans l’enseignement supérieur n’est qu’un début. Thoen : « Les exigences de qualité dans le secteur alimentaire sont tellement strictes et multiformes qu’un responsable AQ doit posséder de nombreuses connaissances et compétences. Il doit être un touche-à-tout, pour ainsi dire, qui connaît aussi bien la sécurité alimentaire que la durabilité, l’étiquetage et la numérisation. Sans parler de la variabilité inhérente à toutes ces normes. » Ceux qui veulent évoluer avec le marché n’ont donc pas d’autre choix que d’actualiser régulièrement leurs compétences. « Malheureusement, très peu de responsables AQ ont effectivement l’occasion de le faire. C’est aux entreprises alimentaires de créer un espace pour cela et d’investir dans la formation de leur personnel.

Exploitez les connaissances et les outils appropriés

Pourtant, il n’existe pas de responsable AQ complet. Van Looy : « Il ne sert à rien de chercher quelqu’un qui possède toutes ces connaissances spécialisées. Cette personne n’existe pas. Mais vous n’avez pas non plus besoin de toutes ces connaissances tous les jours. Il suffit parfois de recevoir une notification et un soutien lorsque quelque chose change réellement. C’est la tâche de notre centre de connaissances, par exemple, afin que le responsable AQ lui-même puisse rester dans l’atelier. » « Par ailleurs, nous fournissons de plus en plus d’outils pour accroître l’efficacité sur le terrain », ajoute Thoen. « Songez aux rapports d’inspection et aux bases de données numériques. De tels éléments permettent rapidement au responsable AQ de réduire fortement le travail de dactylographie et de recherche, et donc de soulager à nouveau la pression sur ses épaules.

Garantissez la continuité

Si le responsable AQ se retire et que le poste n’est pas immédiatement pourvu ? Dans ce cas, Valérie Vanhove estime que l’essentiel est de garantir la continuité. « Si vous laissez traîner les tâches, non seulement la sécurité et la qualité seront compromises, mais dans de nombreux cas, vous accumulerez également un arriéré. Pour un nouvel employé, ce n’est pas un départ optimal, et lorsque l’écart est trop important, vous courez le risque qu’il abandonne. » Le transfert temporaire de la responsabilité à d’autres membres du personnel n’a pas non plus de sens. « D’une part, parce qu’ils n’ont souvent pas les bonnes connaissances, et d’autre part parce que la charge de travail augmente encore de cette façon. Il est alors préférable de confier ce rôle à un partenaire spécialisé pendant un certain temps. KTBA emploie des dizaines de consultants qui peuvent être déployés de manière flexible dans de tels cas et qui assurent le suivi de tout. De cette façon, vous prenez soin de votre personnel actuel, mais également de votre futur personnel.

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